Transformatorenwerk Breimer-Roth GmbH produit des transformateurs monophasĂ©s et triphasĂ©s sous forme de transformateurs de sĂ©paration (sĂ©paration galvanique) ou d’autotransformateurs d’une puissance de construction allant jusqu’Ă 5 MVA. Dans ce cas, la tension en entrĂ©e et en sortie peut varier de 1 V Ă 1 000 volts (1 kV), et de 10 kV Ă 20 kV pour nos transformateurs en rĂ©sine moulĂ©e.
Sur demande du client, la tension d’entrĂ©e et de sortie avec ou sans prises et enroulements sĂ©parĂ©s supplĂ©mentaires ainsi que la puissance de construction du transformateur sont adaptĂ©es, en standard dans la frĂ©quence 50/60 Hz, d’autres plages de frĂ©quence sont bien entendu possibles. En option, nous proposons Ă©galement des boĂ®tiers adaptĂ©s avec un indice de protection IP 23 – IP 65. Outre la norme DIN EN 61558 – prĂ©cĂ©demment DIN VDE 0570 – nous produisons Ă©galement les transformateurs avec des homologations UL/CSA.
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Nos transformateurs sont rĂ©partis en trois classes de protection en fonction du type de protection qu’ils offrent contre les courants corporels dangereux :
SELV est une tension qui ne dépasse pas < 50V de tension alternative ou < 120V de tension continue lissée entre les conducteurs ou entre un conducteur et la terre.
Classification des transformateurs en non résistants aux courts-circuits, résistants aux courts-circuits sous conditions ou résistants aux courts-circuits :
Les tolérances sur la tension du réseau et les variations de la puissance nominale qui en découlent ont été prises en compte dans toutes nos gammes, conformément à la norme applicable.
Jusqu’Ă une puissance de 3 kVA, le noyau des transformateurs monophasĂ©s est constituĂ© d’une coupe DIN EI (utilisĂ©e pour les transformateurs plus petits), rĂ©alisĂ©e Ă partir d’une tĂ´le de noyau de transformateur Ă grains orientĂ©s ou non, selon la perte de puissance souhaitĂ©e, et d’une bobine avec au moins un enroulement primaire et un enroulement secondaire. Pour des puissances plus Ă©levĂ©es, nous utilisons des tĂ´les UI avec deux bobines, la deuxième bobine Ă©tant connectĂ©e en parallèle ou en sĂ©rie, et nos coupes de bandes Ă grains orientĂ©s pour un champ magnĂ©tique optimisĂ©. Le transformateur toroĂŻdal est un modèle spĂ©cial que nous produisons jusqu’Ă une puissance de 3 kVA et dont la tension et l’intensitĂ© peuvent ĂŞtre choisies librement. Ici, il est possible d’adapter le noyau de fer de manière plus flexible en fonction des situations de montage en hauteur et en diamètre.
Pour les transformateurs triphasĂ©s, nous utilisons des tĂ´les de noyau 3UI avec corps de bobine jusqu’Ă une puissance de construction de 50 kVA, pour les transformateurs plus importants de plus de 50 kVA, nous utilisons nos coupes de bandes optimisĂ©es individuellement avec des bobines d’air enfilĂ©es et des canaux de refroidissement intĂ©grĂ©s.
Classes d’isolation :
Jusqu’Ă une puissance de 3500 VA, les transformateurs triphasĂ©s sont fabriquĂ©s en classe d’isolation B, et Ă partir de 4000 VA, en classe d’isolation F. Les transformateurs triphasĂ©s sont fabriquĂ©s en classe d’isolation B, et Ă partir de 4000 VA, en classe d’isolation F. Dans notre sĂ©rie de type BDH, nous proposons la classe d’isolation H avec une taille rĂ©duite.
Connexions :
Le raccordement se fait par des bornes, et Ă partir d’un courant supĂ©rieur Ă 340 A, sur des cosses ou des plaques de cuivre.
alimentation en courant continu :
Outre la tension et le courant alternatifs, il est Ă©galement possible de transformer une tension continue avec une tension et un courant dĂ©finis sur la bobine primaire et/ou la bobine secondaire. En principe, la structure de ces alimentations avec un noyau et une ou plusieurs bobines est identique Ă celle des transformateurs de tension alternative avec au moins un enroulement primaire et un enroulement secondaire, auxquels s’ajoutent un redresseur et un dissipateur thermique. Sur demande, ils sont Ă©galement disponibles sans condensateurs et avec une certaine ondulation rĂ©siduelle.
Grâce Ă diffĂ©rentes techniques de fabrication dans notre entreprise, nous sommes en mesure d’optimiser le flux magnĂ©tique dans le noyau de fer et de rĂ©duire ainsi considĂ©rablement les pertes de puissance Ă vide et en fonctionnement continu. Un champ magnĂ©tique optimisĂ© ne peut ĂŞtre obtenu qu’avec des tĂ´les magnĂ©tiques de haute qualitĂ© et une fabrication soignĂ©e.
Un transformateur est constituĂ© d’un circuit magnĂ©tique, appelĂ© noyau, et possède au moins deux enroulements parcourus par le courant avec un nombre de spires dĂ©terminĂ©. Les spires orientĂ©es vers la tension Ă©lectrique (tension du rĂ©seau) sont appelĂ©es cĂ´tĂ© primaire (bobine primaire), le cĂ´tĂ© avec le consommateur et la charge Ă©lectrique est appelĂ© cĂ´tĂ© secondaire (bobine secondaire). En appliquant une tension alternative Ă la bobine primaire, le flux magnĂ©tique changeant dans le noyau de fer crĂ©e une tension induite sur la bobine secondaire. Dans ce cas, la tension de l’entrĂ©e peut ĂŞtre transformĂ©e en une tension plus Ă©levĂ©e ou plus faible Ă la sortie. La tension et le courant en sortie dĂ©terminent la puissance du transformateur. Un transformateur ne peut pas modifier la frĂ©quence. La technique de fabrication du noyau et la qualitĂ© utilisĂ©e pour le noyau du transformateur ont un impact sur le circuit magnĂ©tique. Le circuit magnĂ©tique (champ magnĂ©tique) doit idĂ©alement gĂ©nĂ©rer de faibles pertes par courants de Foucault et de faibles pertes par inversion magnĂ©tique (pertes par hystĂ©rĂ©sis).
Il faut Ă©galement tenir compte des rĂ©sistances dans le bobinage. Seul un enroulement par couches et des spires ordonnĂ©es sur la bobine primaire et la bobine secondaire et le meilleur mĂ©tal d’enroulement permettent de rĂ©duire les pertes d’enroulement. Le nombre de spires sur la bobine permet de contrĂ´ler la tension. L’intensitĂ© du courant dĂ©termine le diamètre du mĂ©tal d’enroulement. En principe, nous utilisons toujours du cuivre dans nos bobinages.
Le cuivre a la meilleure conductivitĂ©, Ă l’exception de l’argent, avec Îł = 56. L’aluminium, en revanche, n’a que Îł = 36. L’aluminium suit donc avec environ 35 pour cent d’Ă©cart. Ainsi, le cuivre est le meilleur mĂ©tal et l’aluminium “seulement” le deuxième meilleur des matĂ©riaux conducteurs techniquement et Ă©conomiquement utilisables pour l’Ă©nergie Ă©lectrique. Tous les autres mĂ©taux ne peuvent pas ĂŞtre considĂ©rĂ©s comme des conducteurs de courant, et les alliages ont gĂ©nĂ©ralement une conductivitĂ© nettement infĂ©rieure Ă celle des mĂ©taux purs. L’argent ou l’or sont totalement exclus en raison de leur prix Ă©levĂ©.
Pour nos produits, le client a toujours le choix entre une variante optimisĂ©e en termes de coĂ»ts d’achat ou une variante optimisĂ©e en termes de pertes lors du fonctionnement du transformateur. Pour ce faire, nous pouvons vous fournir des outils d’aide Ă la dĂ©cision pour choisir la bonne sĂ©rie, sur la base de calculs d’amortissement et d’Ă©conomies de CO2.